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- Out 5, 2021
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Marine Rosset, socialiste et homosexuelle, nommée à la tête des Scouts et guides de France : le malaise d’une partie de la communauté catholique
Depuis que l’élue du 5ᵉ arrondissement de Paris a pris les rênes du mouvement, le 14 juin, les critiques n’ont cessé de pleuvoir, notamment sur des sites d’extrême droite.
Pendant des semaines, les membres du conseil d’administration des Scouts et guides de France, 100 000 adhérents, ont étudié les profils pour identifier la personne qui saurait le mieux prendre la présidence de la structure. Elue par 22 voix sur 24, samedi 14 juin, Marine Rosset paraissait correspondre parfaitement aux attentes. Bien connue du mouvement dont elle est administratrice depuis 2019 et vice-présidente depuis 2022, celle qui a été professeure d’histoire-géographie en Seine-Saint-Denis et conseillère départementale devait incarner la « continuité ».
Las, certains catholiques ne semblaient pas l’entendre de cette oreille. Les critiques n’ont ainsi pas tardé à pleuvoir, notamment sur des sites d’extrême droite comme le Salon beige, Boulevard Voltaire ou encore Frontières. Des articles ont très vite été publiés, qui ont estimé que l’engagement politique et la vie personnelle de Marine Rosset étaient incompatibles avec la présidence d’une institution catholique.
Le Monde

Depuis que l’élue du 5ᵉ arrondissement de Paris a pris les rênes du mouvement, le 14 juin, les critiques n’ont cessé de pleuvoir, notamment sur des sites d’extrême droite.
Pendant des semaines, les membres du conseil d’administration des Scouts et guides de France, 100 000 adhérents, ont étudié les profils pour identifier la personne qui saurait le mieux prendre la présidence de la structure. Elue par 22 voix sur 24, samedi 14 juin, Marine Rosset paraissait correspondre parfaitement aux attentes. Bien connue du mouvement dont elle est administratrice depuis 2019 et vice-présidente depuis 2022, celle qui a été professeure d’histoire-géographie en Seine-Saint-Denis et conseillère départementale devait incarner la « continuité ».
Las, certains catholiques ne semblaient pas l’entendre de cette oreille. Les critiques n’ont ainsi pas tardé à pleuvoir, notamment sur des sites d’extrême droite comme le Salon beige, Boulevard Voltaire ou encore Frontières. Des articles ont très vite été publiés, qui ont estimé que l’engagement politique et la vie personnelle de Marine Rosset étaient incompatibles avec la présidence d’une institution catholique.
Le Monde