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- Out 5, 2021
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Summer McIntosh, la jeune nageuse canadienne qui a battu trois records du monde en cinq jours
A 18 ans, la triple championne olympique de Paris 2024 (200 m papillon, 200 m 4 nages, 400 m 4 nages) s’annonce, plus encore que Léon Marchand, comme l’attraction des championnats du monde de Singapour, du 11 juillet au 3 août.
Sur les images de la télévision, Summer McIntosh est seule, unique corps en mouvement dans l’immensité du bassin de 50 mètres. La concurrence est loin, hors champ, reléguée à plus de dix secondes, incapable de suivre le rythme imprimé par la nageuse canadienne de 18 ans sur le 400 m 4 nages. Mercredi 11 juin, la jeune prodige a établi un troisième record du monde en à peine cinq jours de compétition. Celui-là, elle le détenait déjà et l’améliore de près d’une seconde (4 m 23 s 65).
Cette course est un fidèle résumé des championnats canadiens de natation à Victoria (Colombie-Britannique), qualificatifs pour les prochains championnats du monde (11 juillet-3 août). Ces derniers se dérouleront à Singapour et Summer McIntosh en sera la star incontestée, plus encore que le Français Léon Marchand, pas complètement affûté. Tout le contraire de la Canadienne, qui estimait, après son troisième record, être dans la « meilleure forme de [sa] carrière ».
Sacrée reine des bassins lors des Jeux olympiques de Paris 2024, avec trois titres olympiques (200 m papillon, 200 m 4 nages, 400 m 4 nages), à seulement 17 ans, Summer McIntosh n’a vécu aucune décompression au sortir des Jeux. Pas l’ombre d’un doute chez la jeune championne, qui a appréhendé son nouveau statut avec une facilité déconcertante, avant de replonger dans un nouveau cycle d’entraînement, dont les résultats éblouissent à Victoria.
Le Monde

A 18 ans, la triple championne olympique de Paris 2024 (200 m papillon, 200 m 4 nages, 400 m 4 nages) s’annonce, plus encore que Léon Marchand, comme l’attraction des championnats du monde de Singapour, du 11 juillet au 3 août.
Sur les images de la télévision, Summer McIntosh est seule, unique corps en mouvement dans l’immensité du bassin de 50 mètres. La concurrence est loin, hors champ, reléguée à plus de dix secondes, incapable de suivre le rythme imprimé par la nageuse canadienne de 18 ans sur le 400 m 4 nages. Mercredi 11 juin, la jeune prodige a établi un troisième record du monde en à peine cinq jours de compétition. Celui-là, elle le détenait déjà et l’améliore de près d’une seconde (4 m 23 s 65).
Cette course est un fidèle résumé des championnats canadiens de natation à Victoria (Colombie-Britannique), qualificatifs pour les prochains championnats du monde (11 juillet-3 août). Ces derniers se dérouleront à Singapour et Summer McIntosh en sera la star incontestée, plus encore que le Français Léon Marchand, pas complètement affûté. Tout le contraire de la Canadienne, qui estimait, après son troisième record, être dans la « meilleure forme de [sa] carrière ».
Sacrée reine des bassins lors des Jeux olympiques de Paris 2024, avec trois titres olympiques (200 m papillon, 200 m 4 nages, 400 m 4 nages), à seulement 17 ans, Summer McIntosh n’a vécu aucune décompression au sortir des Jeux. Pas l’ombre d’un doute chez la jeune championne, qui a appréhendé son nouveau statut avec une facilité déconcertante, avant de replonger dans un nouveau cycle d’entraînement, dont les résultats éblouissent à Victoria.
Le Monde