- Entrou
- Out 5, 2021
- Mensagens
- 17,070
- Gostos Recebidos
- 728
Ligue 1 : pour le dernier « classique » de Mbappé, le PSG, en infériorité numérique, s’impose à Marseille
Réduits à dix après l’exclusion de Lucas Beraldo, les Parisiens l’ont emporté (2-0) sur la pelouse de l’Olympique de Marseille, dimanche, grâce aux buts de Vitinha et Gonçalo Ramos. Gianluigi Donnarumma, le gardien du PSG, a réalisé dix arrêts.
En Ligue 1, au Stade-Vélodrome, le Paris Saint-Germain est comme chez lui. Invaincu en terre marseillaise en championnat depuis novembre 2011, le club de la capitale s’y est de nouveau imposé (2-0), dimanche 31 mars, malgré plus d’une mi-temps passée en infériorité numérique. Sous les yeux de supporteurs marseillais survoltés et dans une affluence record au Stade-Vélodrome – 66 046 personnes étaient présentes dans les tribunes –, Paris a mis fin à la série de 19 matchs sans défaite à domicile de l’OM.
Ce « classique » était le dernier de Kylian Mbappé avant son départ du PSG en fin de saison. L’attaquant n’a pas marqué, laissant le soin à Vitinha (53ᵉ) et Gonçalo Ramos (85ᵉ) d’inscrire les deux buts parisiens sur des contre-attaques. Mais la véritable star de la soirée aura été Gianluigi Donnarumma. Infranchissable, le gardien du PSG a réalisé dix arrêts, au cours d’une soirée où le club de la capitale a été souvent malmené sous une pluie battante.
Malgré de nombreuses situations, Marseille « est tombé sur un gardien incroyable », a concédé Amine Harit au micro de Prime Video après le match. Comme ses coéquipiers, le Marocain a été particulièrement frustré par Donnarumma, notamment sur ses deux frappes tentées en fin de match (87ᵉ, 89ᵉ). Plus tôt dans la rencontre, l’Italien avait été suppléé par l’arbitrage, alors que Jordan Veretout pensait avoir égalisé d’une belle reprise de volée (58ᵉ).
Benoît Bastien, l’arbitre de la rencontre, est venu expliquer au micro de Prime Video la décision d’annuler le but marseillais : « Au moment de la frappe, Luis Henrique est en position de hors-jeu et de par sa très grande proximité avec le gardien de but, il influence la capacité de ce dernier à intervenir. » La plus belle émotion de la soirée aura donc été de courte durée pour l’OM et ses supporteurs. Ces derniers avaient en revanche très bien accueilli la première décision forte de la soirée de Benoît Bastien, celle d’exclure Lucas Beraldo avant la mi-temps, pour une faute sur Pierre-Emerick Aubameyang (40ᵉ).
Mbappé sorti dès l’heure de jeu
Celle-ci s’est produite alors que le PSG avait traversé une première période très compliquée. « On n’a pas fait une bonne première mi-temps, il y a eu beaucoup d’erreurs, on a perdu des ballons », a réagi Luis Enrique au micro de Prime Video. L’entraîneur parisien a été beaucoup plus satisfait de la deuxième période de ses joueurs, capables de résister en infériorité numérique à la pression marseillaise et de faire la différence sur des contre-attaques.
« A dix, on a montré que le PSG est une équipe qui sait se battre. On est très satisfaits de la victoire », s’est félicité Danilo. Le Portugais a terminé la rencontre avec le brassard autour du bras, après la sortie de Kylian Mbappé à l’heure de jeu (64ᵉ). Déjà en difficulté dans la semaine face au Chili avec l’équipe de France, l’attaquant parisien a une nouvelle fois rendu une pâle copie sur la pelouse du Vélodrome.
Mais il a confirmé, pour son dernier « classique » sous les couleurs parisiennes, qu’il ne perd jamais face à l’OM, au terme de son seizième match contre le club phocéen. En sortant son attaquant, qui est venu s’asseoir sur le banc de touche en fin de rencontre après un passage par les vestiaires, Luis Enrique est passé en mode gestion, alors que son équipe menai
L’Espagnol sait que le PSG, qui compte douze points d’avance au classement de la Ligue 1 sur Brest (2ᵉ), a un nouveau rendez-vous très important mercredi : le club de la capitale recevra le Stade Rennais au Parc des Princes en demi-finales de la Coupe de France.
Le Monde
Réduits à dix après l’exclusion de Lucas Beraldo, les Parisiens l’ont emporté (2-0) sur la pelouse de l’Olympique de Marseille, dimanche, grâce aux buts de Vitinha et Gonçalo Ramos. Gianluigi Donnarumma, le gardien du PSG, a réalisé dix arrêts.
En Ligue 1, au Stade-Vélodrome, le Paris Saint-Germain est comme chez lui. Invaincu en terre marseillaise en championnat depuis novembre 2011, le club de la capitale s’y est de nouveau imposé (2-0), dimanche 31 mars, malgré plus d’une mi-temps passée en infériorité numérique. Sous les yeux de supporteurs marseillais survoltés et dans une affluence record au Stade-Vélodrome – 66 046 personnes étaient présentes dans les tribunes –, Paris a mis fin à la série de 19 matchs sans défaite à domicile de l’OM.
Ce « classique » était le dernier de Kylian Mbappé avant son départ du PSG en fin de saison. L’attaquant n’a pas marqué, laissant le soin à Vitinha (53ᵉ) et Gonçalo Ramos (85ᵉ) d’inscrire les deux buts parisiens sur des contre-attaques. Mais la véritable star de la soirée aura été Gianluigi Donnarumma. Infranchissable, le gardien du PSG a réalisé dix arrêts, au cours d’une soirée où le club de la capitale a été souvent malmené sous une pluie battante.
Malgré de nombreuses situations, Marseille « est tombé sur un gardien incroyable », a concédé Amine Harit au micro de Prime Video après le match. Comme ses coéquipiers, le Marocain a été particulièrement frustré par Donnarumma, notamment sur ses deux frappes tentées en fin de match (87ᵉ, 89ᵉ). Plus tôt dans la rencontre, l’Italien avait été suppléé par l’arbitrage, alors que Jordan Veretout pensait avoir égalisé d’une belle reprise de volée (58ᵉ).
Benoît Bastien, l’arbitre de la rencontre, est venu expliquer au micro de Prime Video la décision d’annuler le but marseillais : « Au moment de la frappe, Luis Henrique est en position de hors-jeu et de par sa très grande proximité avec le gardien de but, il influence la capacité de ce dernier à intervenir. » La plus belle émotion de la soirée aura donc été de courte durée pour l’OM et ses supporteurs. Ces derniers avaient en revanche très bien accueilli la première décision forte de la soirée de Benoît Bastien, celle d’exclure Lucas Beraldo avant la mi-temps, pour une faute sur Pierre-Emerick Aubameyang (40ᵉ).
Mbappé sorti dès l’heure de jeu
Celle-ci s’est produite alors que le PSG avait traversé une première période très compliquée. « On n’a pas fait une bonne première mi-temps, il y a eu beaucoup d’erreurs, on a perdu des ballons », a réagi Luis Enrique au micro de Prime Video. L’entraîneur parisien a été beaucoup plus satisfait de la deuxième période de ses joueurs, capables de résister en infériorité numérique à la pression marseillaise et de faire la différence sur des contre-attaques.
« A dix, on a montré que le PSG est une équipe qui sait se battre. On est très satisfaits de la victoire », s’est félicité Danilo. Le Portugais a terminé la rencontre avec le brassard autour du bras, après la sortie de Kylian Mbappé à l’heure de jeu (64ᵉ). Déjà en difficulté dans la semaine face au Chili avec l’équipe de France, l’attaquant parisien a une nouvelle fois rendu une pâle copie sur la pelouse du Vélodrome.
Mais il a confirmé, pour son dernier « classique » sous les couleurs parisiennes, qu’il ne perd jamais face à l’OM, au terme de son seizième match contre le club phocéen. En sortant son attaquant, qui est venu s’asseoir sur le banc de touche en fin de rencontre après un passage par les vestiaires, Luis Enrique est passé en mode gestion, alors que son équipe menai
L’Espagnol sait que le PSG, qui compte douze points d’avance au classement de la Ligue 1 sur Brest (2ᵉ), a un nouveau rendez-vous très important mercredi : le club de la capitale recevra le Stade Rennais au Parc des Princes en demi-finales de la Coupe de France.
Le Monde